L’excès cutané de la paupière supérieure, appelé dermatochalasis, est toujours gênant autant pour la femme que pour l‘homme. Celui-ci est un des responsables de l’aspect fatigué, de l’accentuation des rides du front, des difficultés à se maquiller et parfois, de l’asymétrie des sourcils. Sa correction est une des premières demandes en chirurgie esthétique de rajeunissement.
Le « gold standard » du traitement est la blépharoplastie. Actuellement il n’existe pas de meilleur traitement pour cette région. Les méthodes non-chirurgicales (type Plexr®) ont une efficacité très limitée.
Les patient(e)s se demandent souvent si cette intervention change le regard. Le but de la blépharoplastie n’est pas de changer la physionomie, mais seulement de retrouver le regard de jeunesse.
Les paupières supérieures s’intègrent dans une unité esthétique complexe où la position des sourcils doit être également prise en compte. C’est le rôle du chirurgien, lors de la consultation préopératoire, de déterminer la nécessité d’y associer un lifting des sourcils ou un lifting temporal.
Voici deux exemples de blépharoplastie supérieure avec leurs résultats à distance.
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Patiente 1
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Patient 2